S’investir pour son Avenir, c’est maintenant !
Un avenir ne doit jamais être une source d’inquiétude pour quiconque. C’est la raison pour laquelle, nous avons le souhait Aurore et moi, de vous conter une histoire singulière et vraie. Son contenu très riche en enseignements nous servira à étayer quelques principes fondamentaux en Développement Personnel. Ainsi dans nos prochains articles, nous ne manquerons pas de faire référence à certaines pages de cette histoire. Du fait, soyez bien attentif à ce qui suit…
Il était une fois, au début des années 60, un jeune adolescent qui habitait chez ses parents, un foyer très modeste dans la Sarthe en France. Ce jeune homme ne savait pas trop ce qu’il allait faire de son avenir et poursuivre ses études ne l’attirait pas outre mesure. Il se laissait aller à la dérive, se heurtant aux difficultés que l’on peut rencontrer à l’adolescence…
Puis un jour, sa maman lui dit : « Dis-moi Yvon ?! Ils cherchent un apprenti chez le père « Machin » ! Ça ne t’intéresserait pas de gagner un peu d’argent et d’apprendre un métier ?… »
Il a alors 16 ans. « Pourquoi pas? » se dit-il et il décide de devenir cet apprenti.
Le métier lui plaît, au point même qu’il décide de se spécialiser. Un jour, son père lui conseille pour assurer son avenir, d’aller faire ses preuves dans la Capitale. « D’accord Papa ! » et il décide alors de quitter sa province et « monter » à Paris.
Arrivé dans la Capitale, premier échec : il prend conscience qu’il ne sait pas vraiment travailler et qu’il a encore beaucoup à apprendre. Il fait alors preuve de grande humilité…et reconnaît qu’il a besoin de se former et devient ainsi autodidacte.
La vie n’est pas facile. Il le dit lui-même : « je n’avais même pas 1 franc pour acheter un ticket de métro ! ». Cependant il ne renonce pas ! Il a foi en son avenir et fait preuve de ténacité…
Il se fait bientôt des amis, il élargit ainsi ses connaissances et ces dernières l’encouragent à aller de l’avant et lui ouvrent des portes. On lui présente même des challenges… « Pourquoi pas ? »
Il prend ainsi de l’assurance, sa confiance en lui grandit et en 1975 il ouvre son premier commerce à St Germain en Laye.
Il fait preuve d’un véritable engagement, car il prend des risques !
Ce qui ne l’empêche pas de se fixer d’autres objectifs!
Pour assurer la pérennité de son affaire, une inspiration lui vient et il décide de se démarquer de la concurrence en créant une nouvelle méthode de services à la clientèle… et ça fonctionne !!!
Il a apporté quelque chose de nouveau ! Il est DIFFERENT des autres !
Mais il a envie d’aller plus loin encore, déjà il voit grand et il a envie de se faire connaître du grand public.
Il ouvre alors un deuxième commerce en 1979… à Paris intra-muros cette fois.
Mais là : catastrophe ! C’est l’échec total …son commerce Parisien rue Franklin Roosevelt ne fonctionne pas ! Il ne peut évidemment se partager entre ses deux commerces, alors comment faire ?…
Décide-t-il d’abandonner ? Pas du tout ! Afin de tirer parti de cet échec, il a une idée géniale : créer deux équipes solides, les collaborateurs travaillant main dans la main. Il les forme dans ce sens, les accompagne et crée ainsi un excellent relationnel. Il fédère ses équipes et du fait, il peut superviser les deux commerces et celui de Paris commence à décoller…
En revanche, il craint à l’avenir, de perdre ses collaborateurs qui, super bien formés, pourraient le quitter et voler de leurs propres ailes. Alors, plutôt que de les considérer comme de simples employés, il se comporte en vrai leader et il décide d’associer ses collaborateurs aux résultats de son affaire, à hauteur de 49 % !!!
Il créé ainsi les fondations de son entreprise. Vingt ans plus tard il est déjà à la tête de 20 commerces sur la place de Paris!
Alors bien sûr, Il aurait pu s’arrêter là, il avait déjà atteint un bel objectif n’est-ce pas ? Et bien non, cela ne lui suffit pas, tout simplement car sa vision devient plus grande au fur et à mesure des objectifs atteints.
Il lui vient alors cette nouvelle inspiration : créer un réseau en ouvrant d’autres points de vente dans le monde entier, mais cette fois à la franchise…C’est ce qu’il fait et fonde ainsi le groupe PROVALLIANCE.
Eh bien, imaginez cher lecteur cet adolescent des années 60, issu d’une famille très modeste. Cet adolescent qui a commencé comme apprenti-coiffeur, possède aujourd’hui, un réseau mondial, tenez-vous bien de près de 3000 salons de coiffure répartis dans une vingtaine de pays. Son chiffre d’affaires est d’un milliard d’euros…Vous l’avez reconnu sans doute ?
Nous vous avons décrit le parcours réel, de Monsieur Yvon Provost, c’est-à-dire :
M. FRANCK PROVOST*, Numéro 1 Européen et Numéro 2 Mondial de la coiffure !!!!

De la chance pensez-vous peut-être? Bien sûr que non ! La chance n’existe que dans l’imagination des personnes qui ne tentent jamais rien !
Monsieur Franck Provost et tant d’autres de la même envergure (Steve Jobs, Thomas Edison, Paul Bocuse, …) ont fait preuve de certaines qualités. Ces capacités sont la curiosité, l’audace, la ténacité, l’humilité, la confiance en soi, l’autodidaxie, l’inspiration, mais aussi le leadership. Avec un tel état d’esprit, rien n’est impossible ! En outre, ces personnes ont utilisé leur « pouvoir intérieur ** » que nous possédons tous, mais qui n’est utilisé que par une minorité de personnes, celles qui réussissent !
C’est ainsi que nous avons l’impression que de tels individus sont nés pour réussir, tandis que d’autres luttent toute leur vie.
En songeant au parcours de ces modèles de réussite, qui ont choisi d’être autodidactes, force est de constater par comparaison, que pour bon nombre de jeunes gens, le temps de s’instruire se termine généralement à la fin de la scolarité avec un diplôme ou non en poche. Pour d’autres, moins motivés par les études, l’issue a lieu bien avant.
Ainsi, les années d’écoles représentent un aboutissement pour cette jeunesse qui a soif de liberté et qui considère qu’à partir d’un certain âge, ou d’un niveau de connaissances jugées suffisantes par les intéressés, le temps des études est définitivement révolu.

Ces jeunes gens s’orientent donc vers la « vie active ». Une expression valorisante pour les uns et inquiétante pour les autres suivant la perception qu’ils ont chacun du marché du travail. Cependant, les uns comme les autres ont hâte de se prouver à eux-mêmes qu’ils sont capables de gagner de l’argent afin de pouvoir s’offrir tout ce qu’ils « désirent ».
En conséquence, sans le savoir et sans même se douter une seconde du danger, ils « tombent » dans ce piège fallacieux : travailler pour de l’argent.
Peut-être cher lecteur êtes-vous surpris de ce que nous venons d’évoquer à l’instant ? Pourtant ce piège est bien réel et la plupart des personnes de ce monde en sont les victimes!
Mon épouse comme moi-même, n’avions pas fait exception à cette réalité !
Un peu à la manière d’une drogue, l’attrait de l’argent, comme une promesse de plaisir, fait que nous nous laissons contrôler par nos émotions ! L’une de ces émotions, la plus insidieuse peut-être, est le désir, l’avidité, l’envie de se faire plaisir.
L’idée première et unique de travailler en ayant pour objectif d’acheter tout ce qui fait plaisir est une parfaite stupidité. Pourquoi ?
Parce que l’individu imagine que les biens matériels dont il rêve de se procurer vont le rendre heureux. En réalité cette joie, ce plaisir est très souvent de courte durée. Ainsi, il va vouloir occuper une partie de son avenir à gagner plus d’argent. « Travailler plus pour gagner plus » afin d’obtenir un meilleur confort : une maison, des vacances pour toute sa famille, etc… Mais aussi une certaine sécurité financière… qui n’est en réalité qu’illusoire.
En effet, nous pouvons comparer cette tendance au schéma caricatural suivant : la personne contrainte de pédaler afin de faire fonctionner un générateur d’électricité capable d’illuminer son environnement.

S’il fournit de gros efforts, la lumière est plus éclatante, c’est magnifique. En revanche, s’il s’arrête de pédaler pour une raison ou pour une autre, instantanément la lumière n’est plus !
(donc travailler pour de l’argent = sécurité zéro)
Si l’individu en prend conscience, c’est la peur cette fois qui va s’emparer de sa personne. Il va se rendre compte alors de la fragilité de sa situation d’employé, même s’il possède un CDI ! Que veut dire CDI au fait ? Contrat à Durée Indéterminée…
Est-ce la garantie de ne pas être congédié dans les six mois ? Bien sûr que non ! Pourtant aujourd’hui, le CDI est manifestement synonyme de sécurité pour la plupart des gens. Encore une belle illusion !
Plus grave encore, sont les personnes qui se sentent depuis toujours bien « au chaud » dans l’entreprise de leur patron, ne se souciant pas une seconde de l’incertitude de leur situation et de leur avenir…
Arrive alors une délocalisation, une fusion ou pire une faillite et c’est la catastrophe ! Quelles qu’en soient les raisons, ces personnes ne comprennent pas ce qui leur arrive. Elles étaient tellement persuadées que leur entreprise prendrait soin d’elles pour toujours, que l’avenir leur semble tout à coup extrêmement effrayant. C’est alors que l’on assiste à des pleurs ou de la colère. Ces personnes n’ont tout simplement pas compris « le mode d’emploi » de l’employé ! Etre employé n’est pas du tout synonyme de sécurité !!!

C’est ainsi que l’on peut entendre chaque fois qu’une entreprise est contrainte de « dégraisser » du personnel, ces paroles entre deux sanglots…« Cela fait vingt ans que j’offre mes services dans cette entreprise, je ne peux me résoudre à la quitter !!! ». Plus dur est la chute ! On accuse alors le patron, l’économie, le capitalisme, le gouvernement…
Tout ceci n’est en réalité que de l’enfantillage ! Un comportement totalement immature.

En réalité être un employé doit faire partie de la toute première étape de la construction de sa vie en général, y compris sa vie financière. (Notre histoire introduisant cet article)
Trop souvent on ne va pas plus loin par ignorance et il est bien là le piège ! Certaines personnes s’imagineront évoluer en quittant une PME par exemple pour un grand groupe. Certes elles bénéficieront d’un meilleur salaire, mais travailleront toujours pour de l’argent et le schéma précédent se reproduira.
Maintenant existe-il une autre façon d’agir pour son avenir ?
Bien évidemment !
C’est apprendre à mettre l’argent à son service et non pas travailler au service de l’argent et ceci fera l’objet d’une étude très approfondie dans notre programme d’ateliers.
Etudier l’argent fait partie de l’une des « connaissances » indispensables à acquérir pour assurer son avenir (notre article précédent). Cette étude permet de mieux comprendre l’argent et de s’en servir astucieusement. Il est indispensable si l’on veut construire sa vie de devenir maître de l’argent et non son esclave (Notre histoire introduisant cet article). Ne pas non plus tomber dans l’erreur de devenir des « machines à calculer » en ne s’ingéniant qu’à faire des économies et de petits profits sans envergure.
« A partir du moment où une personne cesse d’être en quêtes d’informations et de connaissances à propos d’elle-même, l’ignorance s’installe ! » Robert T. Kiyosaki (1947- Entrepreneur Américain et auteur en développement personnel)
Par conséquent, la fin de la scolarité ne devrait représenter que le commencement de l’étude de ce que l’enseignement traditionnel ne nous apporte pas.
S’adressant à Jim Rohn, alors jeune adulte dans le besoin, John Earl.Shoaff (1916-1965) Entrepreneur et Philosophe d’affaires lui précise :
« Une éducation moyenne ne rapporte que des résultats moyens…si tu veux plus que la moyenne, il te faut être autodidacte ! »
Jim Rohn devenu quelques années plus tard, un riche homme d’affaires est ainsi un nouvel exemple de l’utilité effective de l’autodidaxie.

Certes, il y a un prix à payer, comme prendre la décision de sortir de sa zone de confort, faire fi du scepticisme notable de notre société actuelle, quitter les sentiers battus qui mènent par exemple au piège mentionné plus haut. Prendre la sage décision de mettre la lecture à la première place dans cet apprentissage.
Le prix à payer peut se traduire aussi parfois par une valeur financière à débourser, pour acheter des livres justement, des CD, un séminaire, assister à des conférences ou encore adhérer à un programme spécifique comme celui que nous mettrons à votre disposition dans un avenir proche.
Permettez-nous cette expression nous venant du XVI eme siècle :
Le jeu en vaut la Chandelle…
Tenez cher lecteur, savez-vous quelle est la signification première de cette expression ? Elle est intéressante à connaître !
Et bien, nous vous laissons le soin de faire votre propre recherche; ce sera un bon début dans la mise en pratique de votre curiosité ne serait-ce que pour ajouter un élément à votre culture personnelle.
Une vie de qualité a pour seul fondement l’autodidaxie, les recherches personnelles, les découvertes et leur mise en application, générant de nouvelles attitudes propres à révéler la plus belle quintessence de vous-même.
« L’éducation formelle vous assurera un gagne-pain. L’autodidaxie vous vaudra de faire fortune » Jim Rohn. (1930-2009)
Nous vous remercions de nous avoir lus…
Nous vous invitons à présent à découvrir notre prochain article intitulé: ” A la recherche d’un bonheur durable “.

- * Propos recueillis lors d’une émission de France 2 programmée par M Frédérique Lopez, intitulée “Parenthèse inattendue” avec pour invité M Franck Provost. Nous remercions Messieurs F. Lopez et F. Provost, d’avoir mis à l’écran cette biographie, ce qui nous a permis ainsi d’illustrer notre article.
- ** Le Pouvoir Intérieur fera l’objet de notre programme d’ateliers que nous mettrons à votre disposition ultérieurement.
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