Une émotion qui peut conduire au désastre…
Cher ami lecteur, aujourd’hui nous allons vous présenter un conte…
Vous aimez les histoires ?
Il était une fois, un capitaine de vaisseau qui s’apprêtait à prendre la mer avec son équipage, afin d’aller chercher des plantes médicinales dans un pays lointain. Des plantes, que le patron de l’herboristerie du village lui avait demandées de rapporter pour ses clients, qui avaient besoin d’un traitement préventif pour traiter un mal récurrent dans le secteur.
En quittant le port de ce village de 5 000 habitants, notre capitaine, dans le crépuscule, aperçoit venant vers lui une embarcation sombre, avec à son bord une forme blanche indéfinissable, assez fantomatique et peu rassurante…
Inquiet, il lance alors ces mots à l’adresse de l’occupant : « Qui êtes-vous et où allez-vous donc ? »
La forme blanche lui répond sans ambages : « Je suis la Peste et je me rends dans ton village pour prendre la vie de un pour cent des âmes de ce village »
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« Mais, c’est cruel » répond le capitaine, « comment pouvez-vous ainsi faire une telle besogne ? »
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« C’est ainsi chaque année » répond la forme, « et cette fois, je ne prendrai la vie que de 50 personnes, pas une de plus, pas une de moins !
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« 50 personnes ? mais c’est énorme ! Vous n’avez pas le droit de faire une chose pareille! »
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« Ne t’inquiète pas, marin, les victimes ne seront que des personnes âgées et souffrant déjà de divers maux chroniques ; vous appelez cela chez les humains, la comorbidité. »
Devant une telle détermination, notre capitaine se voit contraint de s’incliner et de continuer sa route.
Plusieurs semaines se sont écoulées depuis cette rencontre macabre, et notre capitaine est enfin de retour vers son village.
En arrivant au port, il ressent une intuition désagréable. Les quais habituellement très animés par les marchands et les pêcheurs sont tristement déserts.
Même les rues qui mènent au centre du village, semblent absentes de toute vie.
Il débarque précipitamment et se rend vers l’herboristerie, mais trouve l’échoppe fermée par un décret, interdisant la vente d’herbes médicinales considérées comme dangereuses pour la santé !
De plus en plus inquiet et ne comprenant décidément pas la situation, il passe alors devant le cimetière et aperçoit une multitude de tombes improvisées. Le fossoyeur exténué et affublé d’un masque chirurgical, se trouve justement à cet endroit et notre capitaine en profite pour lui demander des explications.
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« Que se passe-t-il donc fossoyeur, c’est une épidémie ? »
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« Non, capitaine, c’est une pandémie !!! Plus de cent personnes sont mortes ! »
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« Mais où sont les survivants ? »
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« Confinés chez eux capitaine, par ordre des autorités ! »
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« Mais quand pourront-ils sortir de chez eux ? »
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« Ils le peuvent déjà capitaine, mais ils n’osent plus sortir! »
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Notre capitaine fou furieux retourne au port et aperçoit à ce moment « La Peste » qui s’apprête à quitter ce port pour une nouvelle destination…
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« Qu’as-tu fais La Peste ? » lance le capitaine furibond à la forme blanche…
« C’est une véritable hécatombe dans mon village, tu n’as pas respecté ta parole ! »
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« Oh ! détrompe-toi, marin, détrompe-toi, je n’ai pris la vie que de 50 personnes, pas une de plus, pas une de moins. »
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« Mais, mais je ne comprends pas ? »
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« Tu vas comprendre marin. Les victimes supplémentaires dont tu fais allusion sont tout simplement mortes de PEUR !!! »
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« L’angoisse trouble nos sens et nous met dans de très mauvaises conditions pour faire face aux situations critiques » Jules Fiaux
La peur est une émotion qui peut générer chez certaines personnes, des actions terribles, voire même violentes et pour d’autres, des actions totalement injustifiées et souvent, parfaitement immatures.
A l’examen de ce qui précède, nous pourrions douter que la peur puisse faire de nombreuses victimes ou favoriser par exemple, des actions de répression insensées.
Notre conte met en œuvre des faits parfaitement imaginaires, aussi, illustre-t-il véritablement la mise en lumière d’une réalité ?
Afin de répondre à cette question que l’on est en droit de se poser, examinons à présent ces événements du passé et certaines situations d’aujourd’hui.
Selon les chroniques de la seconde guerre mondiale, sous l’effet de la terreur provoquée par l’arrivée des troupes allemandes, l’exode des populations en 1940 a vidé une bonne partie des communes du nord et de l’est de la France et aurait même coûté la vie à quelques cent mille personnes…
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Plus récemment, l’interdiction de visites des familles auprès des personnes âgées dans les EHPAD aurait provoqué une véritable hécatombe ces derniers mois au sein de ces établissements.
Pourquoi ?
« Des études en cardiologie révèlent, que les patients qui se sentent coupés de leur famille, de leur communauté…sont plus susceptibles de tomber malade » (Dr Wayne W.Dyer Docteur en Psychologie. 1940-2015)
Toutes ces âmes rassasiées de vie, affaiblies par diverses pathologies et sur-médications, ne se souciaient guerre de ce nouveau mal. Ce qui les importait c’était de garder un lien fort et physique avec leurs proches.
L’absence de présence, est une épreuve cruelle pour les personnes âgées.
En fin de compte, elles ont été exclues du monde extérieur !
Quant à l’intérieur des établissements, elles n’ont même pas bénéficié du réconfort d’un moindre sourire, d’un personnel soignant pourvu de masque sans âme et vêtu comme les cosmonautes !
De telles conditions pour ces personnes en fin de vie, n’étaient-elles pas épouvantables ? Du fait, il est clair que beaucoup se sont laissées partir…
« Ces mesures coercitives sont une des plus grandes violences qu’on ait pu faire à nos très anciens. » (Jean Pélissier Praticien en Médecine Traditionnelle Chinoise, auteur et conférencier. 1952)
Isoler le genre humain sous quelque prétexte que ce soit, et sous quelque forme que ce soit, c’est en même temps déstructurer parfaitement tout milieu humain, dont la communication et l’interdépendance sont essentielles. Le contact humain est indispensable pour l’équilibre de l’adulte comme pour le développement psycho-affectif d’un enfant. C’est une évidence, tout le monde le sait parfaitement.
Que recherche essentiellement un bébé auprès d’un adulte sinon l’expression du visage, les mots sur les lèvres, les sourires…Vous imaginez aujourd’hui ce que cela peut donner dans les crèches avec les puéricultrices masquées ? Cela promet bien des désordres dans le développement psychique du nourrisson !!!
Essayez chers amis lecteurs, derrière vos masques aujourd’hui, de déceler un sourire chez les commerçants. C’est fini ! Nous avons totalement perdu ce contact, pourtant simple et agréable et pour combien de temps ?
Comment peut-on aujourd’hui, avec les connaissances que nous avons en matière de santé psychique, mettre en place de pareilles décisions d’un autre âge ? !
Comment peut-on, si ce n’est sous l’emprise de la PEUR ? !
Nous reprenons notre article aujourd’hui 5 septembre 2020, afin d’apporter un témoignage anonyme parfaitement authentique et récent de l’expérience d’une personne, qui a lieu au Panama. Ceci, pour illustrer combien la Peur peut entraîner des situations extrêmes.
Il s’agit d’un salon de coiffure parfaitement banal. ” On a l’impression d’être à l’hôpital… Désinfection des mains, puis obligation d’enfiler un imperméable jetable en plastique transparent et un couvre-chaussures. Chaque coiffeur est vêtu d’une combinaison noire complétée d’une capuche, casquette ou foulard. Chacun d’eux a un, voire même deux masques sur le visage, doublés d’une visière et bien entendu des gants…Enfin, entre chaque fauteuil un panneau de plexiglass…”
Nous vous invitons à ce propos à consulter notre dernier bulletin d’informations, intitulé “Soyez dociles et ayez la peur au ventre…” qui se trouve dans la rubrique “Ressources” de ce site.
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Bientôt quarante ans que le VIH a été découvert et de nos jours la « sérophobie » est encore d’actualité.
La peur provoquée par le virus du Sida entraîne toujours des discriminations sociales affolantes. A minima il va s’agir par exemple, du comportement ignominieux d’un employeur à l’adresse de l’un de ses employés contaminé.
A l’extrême, cette sérophobie, il faut le noter, a eu pour conséquence dans les années 1980 en France, d’envisager la création des « sidatorium » (véritables prisons) avec un dépistage obligatoire de toute la population et fichage des personnes infectées ! Par bonheur, le projet n’a jamais vu le jour.
Ce genre de projet abject, pourrait-il renaître dans un nouveau contexte ?….
Depuis l’année 2007 en Egypte, une personne porteuse du virus VIH est systématiquement emprisonnée !!!
Dans certains pays, aujourd’hui, un touriste porteur du VIH est encore interdit de séjour ! (Sources Wikipédia)
Savez-vous cher lecteur, que le prix Nobel de médecine qui a co-découvert ce virus a depuis longtemps la solution toute simple pour traiter cette maladie ? (Lire notre e-book en cadeau et découvrir son nom et sa déclaration).
Cela lui a valu d’être conspué par la communauté scientifique…
Ainsi donc, la peur peut conduire au désastre, que ce soit dans le domaine de la contagion comme celui des invasions musclées.
Sans allez jusque dans ces extrêmes, il est cependant notable que la peur, est malheureusement omniprésente dans notre quotidien.
C’est une émotion négative, qui peut ainsi engendrer régulièrement le stress, la violence, la colère, la malhonnêteté, la mesquinerie, la partialité, la fuite, l’inhibition, la méfiance, la trahison, les replis sur soi, l’égocentrisme, le perfectionnisme, la détresse, la panique, la xénophobie, la manipulation…
Qu’est-ce qui éveille la peur chez l’individu ?
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L’obscurité durant l’enfance.
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L’inconnu, le changement.
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Les conditionnements en général (religieux, politique, parentaux, sanitaire…).
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Une confiance en soi défaillante. (peur de passer à l’action, de ne pas être à la hauteur…)
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L’esprit de compétition. (peur de perdre, recherche exacerbée de la notoriété…)
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La dualité maladive : Bien / Mal, (générant aussi la culpabilité)
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L’égo (peur de se remettre en question, peur de la critique, de ses faiblesses, …)
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Les troubles de santé, les souffrances, la mort
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Les menaces de tout type (l’insécurité, la contagion, le vide, l’avion, la foule…)
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L’avenir …
La plupart du temps, ce sont nos peurs qui sont à l’origine de nos choix de vie, alors que nous devrions faire preuve de proactivité et faire appel à une certaine intelligence cognitive. Ainsi, face aux situations critiques, nos réponses sont invariables et quasi automatiques, parce qu’elles sont dictées par notre conscience, alors chargée de stéréotypes et de jugements routiniers.
Malgré cela, nous croyons faire nos choix en toute assurance, mais en réalité, C’EST LA PEUR QUI NOUS GUIDE !!!

Qu’est-ce qui crée la peur ?
Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, ce n’est pas nos propres perceptions sensorielles qui génèrent directement la peur, mais la représentation consciente ou non que nous nous faisons de la situation, des circonstances, des autres ou de l’inconnu.
Autrement dit, notre imagination souvent très fertile nous joue des tours et c’est justement « l’image » que nous nous faisons de la réalité qui nous amène cette émotion.
Comment s’en libérer ?
Cette partie de l’exposé était prévue d’être abordée dans nos futurs ateliers, mais compte tenu des circonstances actuelles, qui nous semblent très préoccupantes, nous préférons cher ami lecteur vous la faire découvrir dès aujourd’hui sous la forme d’un article.
Se défaire de la peur doit venir essentiellement de soi-même. Toute thérapie extérieure n’est guère utile à ce niveau.
Bruno Lallement (auteur, coach et conférencier en accomplissement de soi) nous précise à ce sujet ; nous paraphrasons :
Pour ne plus se laisser dominer par ses peurs, il est nécessaire de « déprogrammer » son mental pour l’amener à avoir une perception plus juste de la situation.
Autrement dit, entraîner son esprit à s’orienter vers une appréciation, c’est-à-dire un jugement, une évaluation plus sage, plus conforme à la réalité de la situation en question et par là même, ne plus se laisser dominer par son imagination.
Par quel moyen ?
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En recherchant tout d’abord, quel est l’objet de nos perceptions qui provoque notre peur.
Pourquoi je ressens cette peur ?
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En s’informant sur la réalité des faits, des circonstances, de l’existence des choses, etc… afin de faire disparaître l’« image », la représentation inexacte que l’on se fait de cette réalité.
Ok ! la réalité m’apparaît désormais ainsi et je me sens plus fort !
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Puis en se dégageant graduellement de la représentation fausse que l’on s’est créée soi-même précédemment.
Peu à peu, je reprends confiance en moi, je ne force rien, j’ai l’intention d’y arriver et je sais que tout ira bien !

Dans cette démarche, il sera donc absolument nécessaire, afin de gérer efficacement cette émotion, de prendre la peine régulièrement de se fixer quelques minutes de calme dans la journée. Le meilleur moment étant au réveil, avant de se lever. Se maintenir dans la détente, le calme, la méditation naturelle* (laïque), afin de laisser son esprit dévoiler les véritables raisons de cette peur.
Confronter ensuite ces raisons, aux informations que l’on va recueillir sur la réalité, un peu comme lorsque l’on va résoudre un problème, avec sérénité et détachement.
Un instituteur de CM2 nous conseillait ceci lorsque j’étais enfant (Jeff), afin de résoudre un problème d’arithmétique : « prenez » disait-il «une feuille de papier, que vous partagez en deux d’un trait vertical. A gauche écrivez « ce que je sais » et à droite « ce que je cherche » »
C’est exactement le même principe qu’il faut adopter : je cherche à ne plus avoir peur.
J’examine donc à présent ce que je sais et je collationne toutes les données que j’ai recueillies, concernant ce qui provoque cette peur et ce qui va la faire disparaître et ainsi me permettre d’obtenir ce que je cherche.
S’imaginer ensuite avec une conviction profonde, ne plus être bientôt la victime de cette peur et que ce problème sera résolu avec le temps.
Plusieurs semaines seront peut-être nécessaires, mais la régularité prend ici toute son importance, car on va peu à peu rendre inoffensive cette émotion désagréable.
Au cours de cette démarche, il faudra cependant envisager tous les cas de figure qui risquent de se présenter dans le futur, afin de ne pas être déstabilisé devant la moindre difficulté, qui pourrait faire revenir la phobie.
Un exemple simple me vient à l’esprit (Jeff) en écrivant ces lignes. Il est puéril mais il confirme parfaitement cette approche du problème.

A l’âge de 5 ans, j’avais peur de me coucher le soir chez mes grands-parents, dans un lit au-dessus duquel était accrochée une photo. Cette photo représentait mes parents, jeunes, souriants, assis dans l’herbe. Derrière eux cependant, apparaissait une clairière dans laquelle se détachait une forme curieuse, ressemblant au crâne osseux d’un animal effrayant…
N’y tenant plus, j’ai décroché un jour cette photo encadrée, pour examiner de plus près l’objet de mon angoisse. Je me suis alors rendu compte, que ce n’était qu’une branche morte sans aucun danger.
Certes, ma peur n’a pas disparu instantanément, j’ai dû ensuite, avec le raisonnement que l’on peut avoir à cinq ans, dégager peu à peu de mon esprit cette fausse représentation ; l’affaire d’une nuit ou deux…
C’est souvent l’inconnu qui génère ces représentations erronées. Pourquoi peut-on par exemple avoir peur de l’avion et non du train ou de la voiture ? Peut-être parce que l’on ne possède pas la notion du pilotage d’un avion qui peut paraître très complexe…
Certaines compagnies, dans le but d’éradiquer cette peur auprès de leur clientèle, organisent des stages, afin de leur faire connaître les différentes phases d’un vol et leur faire découvrir quelques notions de pilotage en simulateur.
Cela montre l’intérêt de toujours se documenter, mieux cerner la réalité, afin de bien analyser le problème qui se pose.
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Prenons à présent, l’exemple de cette épidémie du premier semestre 2020.

Les médias nous annoncent l’existence d’un virus qui fait des ravages dans presque tous les pays.
L’imagination chez bon nombre d’individus génère alors une fausse « image » de la réalité, leur faisant croire à une catastrophe sanitaire sans précédent. Les moyens employés par les médias et les autorités pour satisfaire cette peur étant volontairement ou non particulièrement efficaces à ce sujet, il faut bien le dire.
Quelle attitude doit-on alors observer dans ce cas ?
1) S’orienter vers une évaluation plus proactive de la situation
Plutôt que de céder à la panique, n’est-il pas plus sage de réfléchir et s’attarder sur l’évidence, que notre corps est parfaitement conçu pour être en bonne santé et se défendre de toute invasion extérieure ?
La plupart des gens oublient, que notre état naturel est un état de bien-être, et c’est ce bien-être qui doit être l’objet constant de nos pensées et non l’idée que nous risquons une contagion !
Cela peut paraître banal, pourtant c’est LA REALITE !!!
Nous sommes des êtres énergétiques (lire notre article intitulé « En savoir un peu plus sur l’énergie ») et tant que nous favorisons la libre circulation de nos énergies supérieures dans notre corps et n’opposons la moindre résistance par des pensées de peur ou de doute, notre système immunitaire se renforce.
C’est reconnu scientifiquement, la peur, le doute, affaiblit notre immunité !
Prendre conscience également que depuis toujours, l’industrie des soins de santé utilise la peur pour se faire entendre et faire d’énormes profits à notre insu.
Ce n’est pas faire preuve d’inimitié gratuite ou de complotisme en précisant cela, mais de réalisme et de bon sens !
A votre avis, pourquoi les molécules de synthèse chimiques (qui ne sont pas sans danger, loin s’en faut) prennent-elles ainsi le pas sur les plantes que mère Nature (l’Intelligence Infinie) a mis à notre disposition pour satisfaire notre immunité ?!
Pourquoi Big Pharma bannit les traitements naturels si ce n’est que pour gagner une bataille commerciale ?!
Refuser en conséquence cette façon de toujours penser que la maladie est quelque chose d’inévitable.
En contrepartie, témoigner de la reconnaissance envers cette merveilleuse « machine » intelligente qu’est notre corps avec tous ces organes, qui fonctionnent en parfaite harmonie.
Une « machine » d’une complexité extraordinaire, prévue pour vivre
en bonne intelligence, dans un milieu pourvu de bactéries et de virus, qui ne sont pas toujours nos ennemis, loin de là, comme trop de personnes le pensent encore ! (Découvrir à ce sujet, les deux tomes de notre e-book en cadeau).
Il existe dans la nature un équilibre absolument parfait et cet équilibre se retrouve bien évidemment dans notre organisme. Il faut être conscient que les traitements invasifs chimiques perturbent cet équilibre, les germes pathogènes prennent alors le dessus et notre bien-être vital et déstabilisé !
Se renseigner donc principalement sur les meilleures façons d’améliorer son immunité, (lire par exemple notre bulletin du 28 mars 2020).
Adopter le concept de prévention en limitant également les abus de toutes sortes.
Pratiquer une hygiène simple, non sophistiquée, c’est à dire: supprimer tous ces produits à la mode, qui détruisent nos microbiotes externes comme internes. (mains, bouche, parties génitales…)
Bref, reprendre totalement le contrôle de notre santé tout en cessant d’écouter et de valider ce que tentent de nous faire croire tous ces « oiseaux de mauvaise augure » ressassant au quotidien par matraquage publicitaire, que notre santé est à la merci de tous les dangers !

Ainsi, si tel est le cas, vous avez les éléments pour vous libérer de votre peur de la pandémie, et vous permettre de vous dire enfin :
« Maintenant ça suffit ! C’est mon corps, je sais qu’il possède toutes les potentialités de se défendre et c’est moi qui décide ce dont il a besoin !!! ».
2) Faire preuve de certitude, que votre attitude face à cette angoisse va nécessairement disparaître.
Cela se fera progressivement, par la méditation laïque*, comme indiquée plus haut, en supprimant toutes incitations extérieures prêtes à réveiller vos peurs, tels que les journaux télévisés ou Internet.
Lorsque vous trouverez parfaitement stupide de voir toutes ces personnes porter un masque à chacune de vos sorties, vous serez guéri de votre peur !
Ce sujet sur la peur est très vaste et nous n’avons abordé que quelques exemples concrets pour nous libérer de cette émotion. Cependant, afin de prévenir toute manifestation de peur, nous pouvons préciser ceci, dans un contexte plus général :
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Il est nécessaire de toujours veiller à notre perception des choses sur les situations qui se présentent dans notre quotidien. Ne pas nous laisser influencer.
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S’affranchir de toute supposition est extrêmement important. Toujours vérifier préalablement la source de notre émotion.
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Apprendre à se débarrasser de l’emprise de nos croyances sur les autres, les circonstances de la vie, etc…
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Cesser de toujours vouloir se comparer permet également d’éviter de nourrir certaines peurs.
Ainsi, ces quelques démarches nous permettront de gérer efficacement tout ce qui peut générer de la peur dans le quotidien de la vie.
Nous aborderons bien d’autres exemples sur cette émotion dans nos futurs ateliers, car c’est un point important.

Maintenant cher lecteur, si, et seulement si vous êtes intimement conscient, ou si vous commencez à accepter désormais, après avoir parcouru nos différents articles, que nous vivons dans un Univers d’énergie dans lequel la loi de l’attraction a une place prépondérante, réfléchissez à ceci.
La loi de l’attraction réagit à nos pensées, principalement lorsque ces dernières s’accompagnent d’une émotion, d’une sensation, qu’elle soit positive ou négative.
La peur est une émotion négative et les pensées correspondantes émettent des fréquences basses qui, par le biais de la loi de l’attraction, font que se réalisent l’objet de ces pensées.
Concrètement, dans notre situation actuelle, plus on nourrit la peur d’être victime d’une maladie, plus on a des « chances » de le devenir. Nous avons vu plus haut qu’en raison de cette peur, notre système immunitaire devient alors défaillant, mais en outre, les fréquences basses de nos pensées peuvent entraîner des opportunités malheureuses visant à contracter cette maladie.
Que se passe-t-il aujourd’hui ?
La peur s’empare de l’humanité entière, qui elle-même nourrit de façon excessive cette peur. Du fait, le plus grand nombre émet des pensées dynamiques de cette émotion, générant ainsi des millions de fréquences basses à travers le monde. En conséquence, l’objet de cette peur se réalise tout simplement à grande échelle ! Il ne peut en être autrement c’est la Loi de l’Univers.
« La plupart des gens ignorent tout à fait, qu’ils émettent un signal et que tout ce qui leur arrive vient en réponse au signal qu’ils émettent. Nous appelons cela : le point d’attraction. » Esther Hicks.
Ainsi, ne serait-il pas souhaitable de se libérer rapidement de cette émotion négative désastreuse ?
Ne serait-il pas préférable de prendre du recul, examiner ce que nous avons précisé plus haut, faire disparaître peu à peu le doute et l’inquiétude de nos esprits et coopérer ensemble pour bâtir un monde meilleur en dégageant une haute énergie paisible, sereine, rassurante faite d’amour inconditionnel et de VÉRITÉ ?
Décider de se sentir bien, quoi qu’il arrive autour de soi et le ressentir pleinement au fond de soi ; car « faire comme si », cela ne fonctionne pas.
« Se sentir mal est un choix qui n’est d’aucune utilité pour corriger les situations qui perdurent dans le monde »
(Dr Wayne W.Dyer Docteur en Psychologie. 1940-2015)
Comment parvenir à se sentir bien ?
Oh, ce n’est pas bien compliqué, ni utopique, il suffit de changer sa façon de penser tout simplement !
Notre manière de penser, influence le monde c’est incontestable.
Pour terminer cet article, que pensez-vous cher lecteur de ceci : tous ces déséquilibres qui se produisent, les épidémies, les conditions météorologiques extrêmes, cette fameuse loi des séries, ne viendraient-ils pas justement d’un déséquilibre de la conscience collective humaine ?
Nous vous laissons méditer sur le sujet.
Voici également un autre sujet de méditation qui nous est présenté par Albert Einstein :
« Trois grandes forces dominent le monde : la stupidité, la peur et la cupidité ».
Et maintenant, l’incidence du confinement et sa stérilité…
« L’humain peut absorber (l’énergie) et se guérir par le biais d’autres humains, animaux et une partie de la nature. C’est pourquoi beaucoup de gens se sentent plein d’énergie, lorsqu’ils sont en pleine nature, » (Docteur. Olivia Bader-Lee)
Merci de nous avoir lus.
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La méditation laïque doit être réalisée dans un lieu calme, en adoptant la position qui convient le mieux et qui doit être très confortable (assis dans un fauteuil, dans la nature sur le sol, une pierre ou un tronc d’arbre, couché sur un lit, un divan, un canapé, vautré dans un hamac…peu importe) Pas de bougie allumée, d’encens ou tout autres artifices, tout cela c’est du folklore au sens premier du terme.

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